Jusque-là, les données urbanistiques étaient rares, souvent obsolètes et difficilement accessibles. Lorsque les étudiants congolais ont appris que le projet Villes ouvertes mobilisait les ressources locales pour pallier cette pénurie de données, en promouvant ainsi la production d’informations gratuites, accessibles et collaboratives, ils y ont vu une opportunité. Ces jeunes ont réalisé qu’ils pouvaient collecter des données inaccessibles autrement, les partager librement et les analyser afin d’améliorer la situation de leurs quartiers, et se sont investis avec ferveur et fierté dans ce défi.
Making cities resilient helps youth thrive professionally: A tale of resilience from Congo
City data was scarce, often obsolete, and hardly accessible. So, when Open Cities made efforts to tap into local resources and fill the data gap—introducing opportunities for free, accessible, and collaborative data—Congolese students jumped on the chance.
Quand les communautés africaines s’emparent du numérique pour cartographier leurs villes
Grâce au projet Open Cities Africa, les autorités municipales travaillent avec des universités locales, des ONG et des membres des communautés pour recueillir des données géographiques précises afin de bâtir un avenir plus résilient.
African communities are closing the digital map gap for cities
Sub-Saharan Africa’s urban areas are among the world’s least mapped and most vulnerable. Through the Open Cities Africa program, municipal governments work with local universities, NGOs, and community members to collect detailed geographic data for a more resilient future.